Gtd M'incite À Réflechir Sur Mes Engagements
Fleetingla gtd m’incite à réflechir sur mes engagements
Pour que je sois engagé de façon appropriée.
Si j’ai l’impression de courir après le temps, c’est qu’à chaque instant, je fais quelque chose.
La méthode rappelle que je vais vouloir faire plus de chose que je serai vraiment capable de faire. Je dois donc décider à chaque instant ce que je veux faire, afin d’assurer que je me sens à l’aise à l’idée de ne pas faire ce que je ne fais pas.
Or, si ma journée se compose de A, B, C et D et que je regrette de ne pas avoir eu le temps de faire E, c’est que
- soit E est plus important pour moi que A, B, C ou D, auquel cas il faut que je renégocie A, B, C ou D pour faire E à la place.
- soit E est moins important, auquel cas je dois accepter de ne pas faire E et me féliciter de faire ce qui est le plus important pour moi.
J’ai l’impression que le malaise vient quand on se sur-engage et n’accepte pas de lâcher prise.
Si j’aimerais faire A, B, C, D et E, je dois alors me rendre compte que je veux faire F == « me rendre plus efficace sur A, B, C ou D » et considérer F plus important que A, B, C ou D et donc revenir au raisonnement précédent.
Je pense qu’on a tendance à vouloir faire E et se sentir mal de ne pas le faire quand on n’a pas de trusted system qui se souvient de E à notre place et nous permet d’oublier E. Donc on va vouloir faire E car c’est important et qu’on voudrait le faire « à terme ».
- voir,
Notes pointant ici
- inégalité dans les couples hétérosexuels, charge mentale et gtd (blog)
- je pense qu’on a tendance à refuser de l’aide par rationalisation
- rejet de la gtd, un phénomène « oui mais » ?
- vivre bien, c’est changer les choses ou les accepter