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Manuel De Bonne Conduite

Fleeting

On peut partir du principe que l’autre fait de son mieux, dans ses propres horizons de focus. On ne doit pas lui demander son système de valeurs pour s’accorder à notre système de valeurs.

Le manuel de bonne conduite, c’est les attentes qu’on a implicitement sur les autres. Lorsqu’elles sont insatisfaites, on a tendance à se sentir mal. Voir attentes et les engagements. Surtout qu’on a l’impression que c’est évident.

Bien souvent, la personne en face ne s’en rend pas compte (rasoir de Hanlon) et il s’agit surtout d’un soucis de communication.

Elle indique qu’en communication non violente, on suggère de communiquer ses besoins. Elle rejette cette idée car pour elle, le fait que l’autre s’adapte à nos besoin tien de la manipulation. Elle suggère de travailler sur les pensées plutôt que sur les circonstance.

Si on prend le modèle de Brooke Castillo, on devrait considérer que le comportement de l’autre est une circonstance et on devrait considérer qu’on est libre d’adopter les pensées qu’on lui associe pour mener à une émotion plus agréable.

Peut importe ce que l’autre à fait, c’est soi même qui décide de sa pensée.

Ne pas maîtriser sa pensée, c’est mettre ses émotions à la merci des circonstances.

Il peut être dit que cela incite à l’inaction. On peut en fait considérer que l’autre ne se comporte pas selon le manuel et condamner son acte, tout en décidant d’avoir une pensée qui optimise l’agréabilité de l’émotion. Il s’agit ici de dire qu’on peut agir sur le phénomène émotion == moteur.

On devrait plutôt utiliser un modèle valeurs == moteur.

les autres ne sont pas responsables de la façon dont on se sent

On peut toujours condamner le comportement des autres, en vertu des règles et valeurs qu’on respecte, mais cela devrait être indépendant des pensées et émotions qu’on décide de ressentir.

Notes pointant ici